Titre original : Youth in revolt
Sortie : 1er septembre 2010
De : Miguel Arteta
Avec : Michael Cera, Portia Doubleday, Steve Buscemi, Ray Liotta, Zach Galifianakis, Justin Long, Rooney Mara, Jean Smart...
Nick, jeune garçon encore vierge et mal dans sa peau décide de s'inventer un alter ego : François, un dandy français et rebelle, afin de séduire au mieux la jolie Sheenie dont il est tombé amoureux.
Adaptation des romans de C.D. Payne (Youth in Revolt: The Journals of Nick Twisp, Revolting Youth: The Further Journals of Nick Twisp et Young and Revolting : The Continental Journals of Nick Twisp), Be bad est loin de révolutionner le genre. Arteta dont la réalisation la plus connue est The good girl accumule personnages et péripéties, certes éclectiques, mais déjà vus. Ainsi les seconds rôles sont décevants. Steve Buscemi a perdu de sa folie, Justin Long est peu crédible en addict de champignons hallucinatoires constamment stone, et même Zach Galifianakis, hilarant dans Very Bad Trip est à peine drôle, ici. Seul Michael Cera tire son épingle du jeu. Il est le véritable héros de cette petite comédie.
Arteta s'il ne maîtrise pas les codes du genre saura au moins faire évoluer ses acteurs. Après avoir décelé les talents dramatiques de Jennifer Aniston, il donne l'opportunité à Cera de révéler d'autres facettes de son jeu. Toujours puceau, mais moins souffreteux qu'à son habitude, l'acteur est aussi à l'aise dans la peau du frêle Nick que dans celle du don juan François. Autre aspect réussi du film, l'absence de clichés sur la France. Sheenie, la francophile aime Gainsbourg et Jean-Paul Belmondo. Mais point de baguettes ou de bérets. On préfère ici l'image d'un pays rebelle et insolent mais toujours avec élégance (remarquez, ça aussi c'est cliché). Be bad est un film sans prétention mais également sans peu d'intérêt qui ne vaut que pour l'adorable Michael Cera dont la maladresse touchante finit toujours par l'emporter.
Sortie : 1er septembre 2010
De : Miguel Arteta
Avec : Michael Cera, Portia Doubleday, Steve Buscemi, Ray Liotta, Zach Galifianakis, Justin Long, Rooney Mara, Jean Smart...
Nick, jeune garçon encore vierge et mal dans sa peau décide de s'inventer un alter ego : François, un dandy français et rebelle, afin de séduire au mieux la jolie Sheenie dont il est tombé amoureux.
Adaptation des romans de C.D. Payne (Youth in Revolt: The Journals of Nick Twisp, Revolting Youth: The Further Journals of Nick Twisp et Young and Revolting : The Continental Journals of Nick Twisp), Be bad est loin de révolutionner le genre. Arteta dont la réalisation la plus connue est The good girl accumule personnages et péripéties, certes éclectiques, mais déjà vus. Ainsi les seconds rôles sont décevants. Steve Buscemi a perdu de sa folie, Justin Long est peu crédible en addict de champignons hallucinatoires constamment stone, et même Zach Galifianakis, hilarant dans Very Bad Trip est à peine drôle, ici. Seul Michael Cera tire son épingle du jeu. Il est le véritable héros de cette petite comédie.
Arteta s'il ne maîtrise pas les codes du genre saura au moins faire évoluer ses acteurs. Après avoir décelé les talents dramatiques de Jennifer Aniston, il donne l'opportunité à Cera de révéler d'autres facettes de son jeu. Toujours puceau, mais moins souffreteux qu'à son habitude, l'acteur est aussi à l'aise dans la peau du frêle Nick que dans celle du don juan François. Autre aspect réussi du film, l'absence de clichés sur la France. Sheenie, la francophile aime Gainsbourg et Jean-Paul Belmondo. Mais point de baguettes ou de bérets. On préfère ici l'image d'un pays rebelle et insolent mais toujours avec élégance (remarquez, ça aussi c'est cliché). Be bad est un film sans prétention mais également sans peu d'intérêt qui ne vaut que pour l'adorable Michael Cera dont la maladresse touchante finit toujours par l'emporter.
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