Sortie : 20 février 2008
De : Cédric Klapisch
Avec : Romain Duris, Juliette Binoche, Fabrice Luchini, Mélanie Laurent, Julie Ferrier, Albert Dupontel, Gilles Lellouche...
Un jeune homme tombe gravement malade et se met soudain à réfléchir sur le sens de la vie. Une occasion pour lui de se pencher sur la sienne mais surtout sur celle des autres.
Film chorale, Paris, nous plonge dans la vie de personnages aux aspirations et aux préoccupations différentes mais dont chaque journée est un combat. Klapisch sait très bien rendre ses instants de vie, ces moments d'intimité. Romain Duris y est meilleur que jamais, loin de son rôle de célibataire trentenaire qui devenait lassant. Ses scènes avec Juliette Binoche sont les meilleures du film.
Dommage par contre que Julie Ferrier et Karin Viard ne soient pas plus exploitées et soient presque relégués aux rôles de guest-stars. Le film, trop long, privilégie certaines histoires au détriment d'autres. Le comble pour un film qui se veut chorale. Résultat : on ne s'attache pas aux personnages. Mais si le réalisateur de L'auberge espagnole et des Poupées russes s'en sort avec les honneurs, n'est pas François Truffaut qui veut, ice dernier restant le maître incontesté en matière de films sur les tranches de vie. Cependant, klapisch livre ici son film le plus adulte et le plus approfondi délaissant les turpitudes amoureuses des trentenaires pour se consacrer au mal-être de toutes les générations.
Dommage par contre que Julie Ferrier et Karin Viard ne soient pas plus exploitées et soient presque relégués aux rôles de guest-stars. Le film, trop long, privilégie certaines histoires au détriment d'autres. Le comble pour un film qui se veut chorale. Résultat : on ne s'attache pas aux personnages. Mais si le réalisateur de L'auberge espagnole et des Poupées russes s'en sort avec les honneurs, n'est pas François Truffaut qui veut, ice dernier restant le maître incontesté en matière de films sur les tranches de vie. Cependant, klapisch livre ici son film le plus adulte et le plus approfondi délaissant les turpitudes amoureuses des trentenaires pour se consacrer au mal-être de toutes les générations.
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